Argent Colloïdal, l’incontournable allié naturel
Argent colloïdal 15 ppm du laboratoire Biocolloïdal est une solution naturelle destinée à un usage externe, notamment pour purifier la peau. En tant qu’antibactérien externe, il aide à régler de nombreux problèmes de peau en éliminant les germes, les toxines et les bactéries. Il aide notamment à soulager les piqûres d’insectes.
C’est un produit élaboré par électrolyse, une méthode rigoureuse qui permet de créer des réactions chimiques grâce à une activation électrique.
Argent Colloïdal 15 ppm convient au mode de vie Vegan.
De l’argent sous une forme exclusive
Le terme « colloïdal » renvoie à un état naturel. Par exemple, l’eau doit être sous forme colloïdale pour que l’organisme puisse absorber et employer les minéraux.
L’argent colloïdal constitue une condition où une particule microscopique solide est suspendue dans de l’eau ultra pure. L’argent colloïdal est donc composé de minuscules grains et ions d’argent présents grâce aux techniques d’électrolyse employées pour la fabrication.
Les usages de l’argent à travers l’Histoire
En Grèce, Hippocrate, le père de la médecine, lui attribua l’appellation « la fleur d’argent » pour indiquer que cette poudre d’argent était destinée à faciliter la cicatrisation des plaies.Durant le Moyen Âge, en Europe, quand la peste bubonique faisait des ravages, on plaçait une cuillère en argent dans la bouche des nourrissons afin de les protéger.
Les critères de choix d’un bon argent colloïdal
L’importance de la taille des particules
La taille des particules constitue la caractéristique qualitative la plus importante de l’argent colloïdal.
En effet, plus les particules sont petites, plus elles couvriront de surface pour un même volume ou masse totale.
En d’autres termes, si on prend les deux cas suivants : dans le premier cas, nous plaçons une particule de 1 milligramme (mg) d’argent dans un litre d’eau ; dans le deuxième cas, nous infiltrons 1 000 particules à 1 microgramme (µg) dans un litre d’eau. Dans les deux cas, la teneur en argent serait de 1 ppm. Cependant, c’est la seconde solution d’argent colloïdal qui est à privilégier !
Une eau ultra pure, de qualité pharmaceutique
Pour fabriquer de l’argent colloïdal de qualité supérieure, il faut utiliser une eau pure de haute qualité (double ou triple distillation ou désionisation).
Cette dernière doit être la plus pure possible afin d’éviter d’altérer la solution d’argent colloïdal produite.
Autrement dit une eau de basse qualité, telle l’eau du robinet ou l’eau minérale, est à éviter dans la mesure où elle détient une conductivité trop élevée engendrant la formation de particules trop grosses.
Il est donc conseillé d’opter pour l’eau distillée par les laboratoires spécialisés dans ce domaine car ceux-ci sont mieux placés et mieux équipés pour exécuter le processus de déminéralisation de l’eau avec perfection et obtenir ainsi une eau pure de qualité.
Une concentration extrêmement précise
Pour déterminer la quantité exacte d’argent dans une solution, on doit mesurer celle-ci en milligrammes par litre.
Ceci dit, on utilise plus souvent dans la pratique une mesure équivalente, c’est-à-dire les parties par million (ppm). Cela indique le nombre de parties d’argent (en poids) pour chaque million de parties d’eau. Donc, 10 parties par million représentent 10 parties d’argent pour un million de parties d’eau (10 ppm), et équivaut à 10 mg/l.
La concentration en pratique est comprise entre 5 et 20ppm et rien ne sert d’aller au delà de 25ppm. En effet, c’est la taille des particules qui sera l’indicateur le plus important à regarder. D’ailleurs, si la concentration des particules est trop élevée, celles-ci ont tendance à s’agglomérer puis à précipiter. Et cela est de plus en plus vrai chaque fois que la concentration augmente.
La qualité des électrodes
Cela peut paraître anodin, mais la qualité des électrodes utilisées dans l’eau pure joue aussi un rôle important dans l’élaboration de l’argent colloïdal.
En effet, celles-ci doivent être d’un degré de pureté supérieur, généralement de 99,99 %, pour éviter de générer la formation d’ions plus ou moins toxiques.